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Il évoqua ces voyages que l'on fait en chemin de fer, simple passager emporté dans un état de joyeuse lassitude, délivré de tout, y compris de l'obligation de regarder ce qui se présentait à l'extérieur des vitres. Il suffisait de respirer, d'inspirer les parfums emportés par le vent de la marche. De savoir qu'il y avait là tant de choses et qu'elles vous étaient offertes.
Paul Nizon, Stolz
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